Stand
« Tram D »
Ici, on te propose de (re)découvrir la 2ème partie des visuels « Mâle informé », la campagne de sensibilisation des ERS 2018 qui aborde le thème du culte de la performance sexuelle à travers plusieurs prismes : durée du rapport, pression à être performant et rapport aux corps et aux images !
Il apparaît que nombre de garçons craignent de ne pas ‘’tenir’’ assez longtemps, et s’étiquettent par là même « éjaculateur précoce », souvent à tort. Il s’agit alors de remettre en question une potentielle norme relative à la durée idéale ou moyenne d’un rapport sexuel, et même de questionner la définition même du « rapport sexuel ». La pression que se mettent les garçons quant à la durée du rapport les amènent à voir ces relations comme des performances à tenir et non plus comme une recherche de plaisir avec son ou sa partenaire.
Les corps masculins sont de plus en plus sexualisés dans les publicités et sur les réseaux sociaux, opérant ainsi une nouvelle normalisation des images auxquelles s’identifier.
Si de nombreuses réflexions ont eu lieu sur cette question à propos des corps des femmes, il semble que les garçons ne soient aujourd’hui pas en reste. En plus des complexes que ces images alimentent, la sexualisation des corps a quitté la seule pornographie pour rejoindre de nombreux espaces de la vie quotidienne, donnant ainsi un environnement où la sexualité est omniprésente. Par effet miroir, celui qui n’aura pas le corps attendu et une sexualité imposante pourra se sentir et se voir catalogué comme « loser ».
Comme les filles, les garçons sont soumis à différentes injonctions relatives à leurs comportements sexuels : de la drague au rapport en lui-même, c’est à eux d’être entreprenants et d’être moteurs du rapport.
Aussi il leur est demandé d’être un « bon coup », de connaître les bonnes positions et de savoir les enchaîner, de répéter l’acte autant que possible etc.
Mais qu’est-ce qu’un bon coup ? Rappelons-nous que ça n’existe pas, que la sexualité n’a pas de formule toute faite mais qu’elle emprunte au contraire de nombreux chemins à inventer avec ses partenaires…
Stand
« Tram C »
Parce que le consentement est toujours au cœur de notre actualité, nous te proposons de revenir sur la campagne de 2016 réalisée par une ancienne équipe d’ERS. Dans ce stand on va te parler soirées, consommations, flirt et vie en couple !
Stand
« Tram B »
Ici, on te propose de (re)découvrir la 1ère partie des visuels « Mâle informé », la campagne de sensibilisation des ERS 2018 qui aborde des grands thèmes autour des enjeux sur la sexualité : l’accès aux soins, le port du préservatif et le consentement !
En plus d’interpeller les garçons sur la possibilité pour eux d’avoir des questionnements et des besoins spécifiques, il s’agit de pallier le manque d’informations sur les professionnels de santé sexuelle pour les hommes, en réaction à la place donnée aux gynécologues pour les femmes : informer sur la place du médecin généraliste dans la santé sexuelle, et l’importance de le choisir selon ses besoins. Aussi, nous souhaitons promouvoir l’Espace Santé comme lieu ressource pour les hommes.
Aborder la sexualité c’est aussi parler des moyens de la vivre librement et nous ne voulions pas parler de santé sexuelle sans parler de l’usage du préservatif.
Afin de réduire les risques infectieux dus à des rapports non protégés – qui arrivent le plus souvent dans des contextes festifs ou au moment où une relation stable s’installe – nous avons voulu promouvoir le port du préservatif de manière positive. Ainsi, c’est l’enjeu du bien-être qui est mobilisé, car porter un préservatif c’est se préoccuper de sa santé, et l’adoption de comportements plus responsables peut aussi se traduire par une fierté d’être pleinement acteur de sa vie sexuelle.
Après avoir porté les volets 1 et 2 de la campagne Consentement et maintenant que ce terme a été mis en lumière dans l’ensemble de la société – le plus souvent par l’angle des violences faites aux femmes, nous avons souhaité mettre en avant le « consentement au masculin » afin de déconstruire le postulat selon lequel les étudiants garçons ont toujours du désir et sont toujours disposés à avoir un rapport sexuel. C’est de cette manière que nous pourrons continuer à engager une réflexion de grande ampleur sur la notion de consentement sexuel comme préalable à une relation égalitaire et respectueuse.
Nous avons pris le parti de mettre en avant la pression culturelle et des pairs à laquelle sont soumis les garçons, les empêchant d’exprimer une absence de désir ou un refus à une sollicitation sexuelle. Cette image s’adresse ainsi tant aux étudiants qu’à leurs partenaires : c’est en sensibilisant les étudiants à la possibilité du refus qu’ils pourront le verbaliser et le voir respecté. Les garçons subissent une pression sociale forte concernant leur sexualité, une concurrence entre garçons, un besoin d’affirmer sa virilité, d’être performant, d’avoir toujours envie. La question que soulève cette thématique reste ouverte ; avec les mythes qui ont constitué les représentations de leur libido, les garçons sont-ils réellement conscients de leur droit de dire « non » ?
Pour illustrer ce thème, c’est un étudiant musclé qui pose, son visage étant caché par une poche en carton, avec le message « J’ai pas envie ». Le corps musclé représente un archétype de virilité, imaginé comme perpétuellement en recherche et sollicité pour des relations sexuelles. Cette image de corps sexualisé refusant un rapport sexuel permet ensuite d’ouvrir la question du désir et du refus à tous.
Stand
« Tram A »
Parce que le consentement est toujours au cœur de notre actualité, nous te proposons de revenir sur la campagne de 2016 réalisée par une ancienne équipe d’ERS. Dans ce stand on va te parler de la durée du consentement, du consentement au cours d’un jeu de séduction, dans le couple et dans les pratiques sexuelles !
Stand
« Étudiantes Relais Santé »
Nous sommes une équipe de 5 étudiantes comme toi – Diana, Enora, Louise, Lucille, et Pauline. Nous sommes également salariées de l’Espace Santé Étudiants de l’Université de Bordeaux et c’est nous qui te concoctons des projets comme celui-ci pour te sensibiliser et te donner des bonnes informations sur la santé sexuelle. Des équipes comme la nôtre il y en a deux autres : l’équipe soirée et l’équipe bien-être. Ces équipes changent tous les ans !
Si tu veux plus d’informations ou suivre notre actu et nos projets avec les professionnel·le·s de santé on te conseille d’aller faire un tour sur le site internet ou les réseaux sociaux de l’Espace Santé Étudiants.
Stand
« Pour aller plus loin »
Si tu veux plus d’informations sur tous les sujets que nous avons évoqués pendant le festival, tu es au bon endroit !
Tu trouveras par ici une sélection de lecture sur les thèmes évoqués du Sex On The Campus : Consentement, premières fois, plaisir, estime de soi, rupture, …
N’hésites pas à nous partager tes références sur le sujet sur la page instagram : @espace_sante_etudiants_bdx
Et voilà, cette liste (non exhaustive) a été concoctée spécialement pour toi 🙂
Si tu souhaites découvrir dans les BU près de chez toi des ouvrages intéressants sur tous les thèmes du Sex On The Campus, c’est par ici !
Nous remercions la Direction de la communication de la Bibliothèque universitaire des Sciences de l’Homme pour cette liste !
Si tu veux en savoir plus on te conseille aussi de supers bouquins moins universitaires :
- Au-delà de la pénétration – Martin Page
- Jouissance Club – Jüne Pla
- Les joies d’en bas – Nina Brochmann et Ellen Stockken Dahl
- La sexualité féminine dans tous ses états – Dr Céline Causse
- B.A.BA du sexe entre meufs et personnes queer – Allison Moon
- L’art de faire l’amour à un homme – Linda Lou Paget
- L’art de faire l’amour à une femme – Linda Lou Paget
- Le vrai sexe de la vraie vie T1 – Mademoizelle
- Il n’y a pas d’âge pour jouir – Catherine Grangeard
- Foufoune cosmique, petit guide pratique vers une sexualité sacrée, consciente et épanouie – Malory Malmasson
Stand
« Relations toxiques »
Il arrive de ne pas se sentir bien dans une relation, mais comment distinguer une relation toxique d’une période difficile ?
Pour t’aider à y voir plus clair, nous te proposons des petites situations, afin de réfléchir sur ce qui peut être considéré comme toxique ou non dans une relation.
Attention, ce n’est pas parce qu’on observe des comportements toxiques chez quelqu’un que la personne est dite toxique. Parfois ce ne sont pas les personnes elles-mêmes mais la relation qu’elles forment ensemble qui devient malsaine.
Je fouille dans le téléphone de mon·ma partenaire
Mon·ma partenaire se moque de moi/me rabaisse
Mon·ma partenaire décide de ma façon de m’habiller/maquiller.
Il m’arrive d’insister pour avoir une relation sexuelle avec mon·ma partenaire
Mon·ma partenaire préfère que je prenne de la distance avec mes proches
Mon·ma partenaire retire le préservatif pendant l’acte sans me prévenir
Je laisse mon·ma partenaire aller en soirée sans moi
Mon·ma partenaire a eu un geste violent ou me menace pendant une dispute.
Mon·ma partenaire vérifie mon activité sur les réseaux sociaux
Je dois rester joignable H24 pour mon·ma partenaire
Mon·ma partenaire a déjà menacé de se faire du mal si je ne cédais pas à ses demandes
Ce stand a peut-être été un peu éprouvant alors si tu en ressens le besoin, tu peux contacter :
Le Planning Familial 33 – 19 rue Eugène Le Roy – 33800 Bordeaux
Téléphone : 05 56 44 00 04
Courriel : planningfamilial33@gmail.com
Horaires
- Lundi de 18h à 20h
- Mercredi de 14h à 18h
- Vendredi de 10h à 13h
Violences conjugales (ligne d’écoute) : 3919
Urgence : Appeler la police au 17
Stand
« Premières fois »
Que ce soit ton premier rapport sexuel, ton première date, ton premier plan à trois, ton premier test d’une pratique sexuelle ou ta première consultation en santé sexuelle, parfois le “expectation vs. reality” est mémorable.
Parce que ta vie ne se passe pas comme dans un film, et que ta première galoche ressemblait plus à un concours de bave qu’autre chose, il est temps de démystifier tout ça !
Difficile d’être Scarlett Johansson ou Dwayne Johnson (aka The Rock) en toute situation, mais spoiler : c’est pas grave, en fait c’est même normal.
Pour commencer, nous t’avons récolté quelques anecdotes, et t’invitons à participer aussi via instagram sur notre page @espace_sante_etudiants_bdx !
Garde l’œil ouvert et n’hésite pas à nous partager tes plus mémorables anecdotes !
Avec ma copine de l’époque, on y est allés progressivement. Rien ne s’est déroulé comme je l’avais prévu : c’était difficile d’avoir une pénétration, au début, nous avons dû faire preuve de beaucoup de patience, elle n’a pas eu d’orgasme et je n’ai pas éjaculé non plus. Mais la douceur et la confiance étaient là, alors c’est un super souvenir !
— Thomas*, 21 ans.
J’étais au collège quand je suis allée dormir chez une très bonne amie à moi. Nous avons passé la soirée à nous faire des bisous sous couvert de jeu, c’était tout doux. C’est à partir de ce jour-là que j’ai compris que les filles me plaisaient aussi.
— Samya*, 18 ans.
C’était au lycée, après une expérience de préliminaires avec un autre homme, j’ai eu tellement peur que j’ai appelé le numéro de Sida Info Service, qui a pu m’orienter vers le centre de dépistage gratuit le plus proche de mon village.
— Daniel*, 25 ans.
C’était avec la gynéco de ma mère, avec ma mère présente également. Heureusement, il n’y a pas eu d’examen, j’aurais été terriblement mal à l’aise. C’était juste une consultation pour me prescrire la pilule quand j’avais 15 ans car mes douleurs de règles étaient insoutenables.
— Lisa*, 22 ans.
Il arrive qu’une première fois ça ne se passe pas vraiment comme on l’avait imaginé. Le tout, c’est de se rappeler que cette première fois n’était pas forcément plus importante que toutes celles d’après et que ce seul moment ne conditionne pas l’entièreté de ta vie sexuelle !
Et si tu veux en savoir plus sur les tips et conseils que les pros de l’Espace Santé Étudiants te donnent sur les consultations en santé sexuelle c’est par ici :
Ce n’est pas toujours évident de se lancer et d’aller parler santé sexuelle avec un·e praticien·ne. Est-ce que je suis légitime à venir consulter pour avoir des informations sur les dépistages, la performance, la contraception ? Est-ce que je peux dire non à un examen ? Comment se passe concrètement un rendez-vous de santé sexuelle ? Toutes ces questions peuvent nous bloquer, alors nous avons préparé une vidéo qui décortique et dédramatise tout ce concept ! Cette vidéo s’adresse, tout comme les consultations de santé sexuelle, à tout le monde que l’on soit un homme, une femme, un homme trans, une femme trans, une personne non-binaire ou une personne intersexe.
Bon visionnage 🙂
N’hésite pas à nous faire tes retours sur nos réseaux sociaux ! Si tu souhaites consulter l’un.e de nos professionnel.le·s à l’Espace Santé Étudiants tu peux prendre rendez-vous en présentiel ou en visio directement par téléphone au 05.33.51.42.00 ou sur Doctolib
Si tu changes de ville ou que tu souhaites trouver un.e praticien•ne de confiance près de chez toi nous pouvons également te conseiller ces deux sites pour t’y retrouver :
Stand
« Espace Santé Étudiants »
Tu veux en savoir plus sur l’Espace Santé Étudiants ? Tu es au bon endroit !
L’Espace Santé Étudiant (ESE pour les intimes) se trouve en grande partie au campus de Pessac (Tram B, arrêt Doyen Brus) et a également une annexe sur le campus de la Victoire.
Étudiant·e de l’université de Bordeaux, Montaigne, INP, BSA, Sciences Po, nous te proposons des consultations et téléconsultations sans avancement de frais (autrement dit, tu n’as pas besoin d’ouvrir ton porte-monnaie) avec des médecins, infirmier·e·s, sage-femmes, psychologues, diététicienne ou encore assistante sociale !
L’Espace Santé Étudiants est également présent sur les campus universitaires d’Agen et de Périgueux au sein desquels il déploie tout ou en partie des projets de promotion de la santé et des téléconsultations médicales.
Et si tu veux encore plus d’infos ou que tu veux suivre notre actu on te propose d’aller checker notre site et nos réseaux sociaux :
TikTok ESEBordeaux (@esebordeaux)
Stand
« Le consentement »
Le consentement, c’est le b.a.-ba de toute relation.
Quand c’est non, c’est non, quand c’est peut-être, c’est non aussi, et quand pas de réponse, c’est toujours non, c’est la base. Mais le consentement c’est aussi valable dans tes relations sexuelles, amicales, amoureuses, familiales et médicales. Ton corps t’appartient toujours et tu as le droit de dire non.
Que ce soit pour le consentement ou le bien-être sexuel, le mieux est d’en parler. Rappelle-toi, la communication, c’est la clef !
Le sexe, c’est comme les antibiotiques, c’est pas automatique ! Le consentement est valable aussi bien en couple qu’ailleurs. Et rassure-toi, ce n’est pas parce que ton·ta partenaire n’a pas envie qu’iel ne t’aime plus.
Tu n’as rien demandé et tu reçois une dickpic ? Envoyer des contenus à caractère sexuel non sollicités est puni par la loi. Alors assure-toi du consentement de ton·ta destinataire avant de faire le show.
Le savais-tu ?
D’après l’article R624-2 pour l’envoi de tout contenu à caractère sexuel non-sollicité, l’expéditeur·trice peut encourir jusqu’à 750€ d’amende.
Comme n’importe quelle autre personne, tout·e professionnel·le de santé doit, iel aussi, s’assurer de ton consentement avant d’effectuer un quelconque examen. Tu auras d’ailleurs plus d’infos sur les consultations en santé sexuelle au stand “Premières Fois”.
Que ce soit en famille ou en coloc, ce n’est pas parce que vous partagez un lieu de vie commun qu’il faut en oublier le consentement. Parents, frères et sœurs ou grands-parents, absolument tout le monde doit te demander ton accord avant de s’immiscer dans ta sphère privée. Si tu sens que quelqu’un empiète sur ton intimité, n’hésite pas à dire stop et à demander de l’aide si besoin.
Stand
« Estime de soi »
La société peut parfois influencer le regard qu’on pose sur soi-même et la façon dont on se comporte. Cependant, tu es toi-même et tu es unique! Apprendre à avoir confiance en ton corps, savoir ce dont tu as envie et besoin et connaître tes limites te permettra d’être plus épanoui.e dans tes relations sexuelles.
Nous avons discuté de ces sujets avec deux professionnelles de l’ESE, Edwige et Patricia, ainsi que des étudiant.es qui nous ont partagé leurs ressentis vis-à-vis de ces injonctions.
Si tu veux directement écouter notre podcast sur le sujet c’est par ici : Aller au podcast
Pour commencer sur ce stand on te propose un petit quiz très rapide pour connaître ton niveau en citations « Auteur classique ou rappeur de ta playlist » 😉
Go !
“C’est encore croire en soi que de douter de soi.”
“Je m’estime peu quand je m’examine, beaucoup quand je me compare”.
“Dans ce monde, il faut avoir un cœur en bois, un mental de fer et beaucoup croire en soi”
“Le regard des gens t’amènera devant le mirage du miroir”
“S’aimer soi-même est le début d’une histoire d’amour qui durera toute une vie”
Et hop ! Maintenant que tu t’es échauffé·e sur le thème avec ces très grands artistes tu peux découvrir en avant première notre podcast sur l’estime de soi avec nos professionnelles de l’Espace Santé Étudiants 🙂
“Disclaimer” : dans ce podcast nous abordons des sujets qui peuvent te mettre mal à l’aise. Nous souhaitons que cette édition du Sex On The Campus soit un lieu de partage et de bienveillance. Si tu penses que ce stand n’est pas fait pour toi, aucun souci ! Nous avons encore pleins d’autres stands que tu peux découvrir 🙂
Si ce podcast t’as plu ou que tu souhaites nous partager tes remarques, n’hésite pas à nous envoyer des DM sur la page Instagram de l’Espace Santé Étudiants !
Stand
« Plaisir »
Il y a mille et une manières de prendre du plaisir, seul·e ou à plusieurs. Dans ce stand, nous te proposons quelques mots, réflexions et infos sur ce vaste sujet !
Découvrir et accepter son corps
Que l’on soit propriétaire d’un pénis ou d’une vulve, il existe une forme d’injonction au corps “parfait” ou “idéal” imposée par les images, la télé, les publicités et l’ensemble de la société. La pornographie, notamment, entretient une vision de nos sexes qui est loin de la réalité. N’oublions pas que la pornographie c’est du cinéma, avec maquillage, angles de vue bien pensés et acteurs·trices professionnel·le·s. La confiance en son corps, ça s’apprend doucement, et s’accepter c’est la clé pour aimer son corps tel qu’il est : unique et inimitable !
As-tu déjà observé ta vulve ? Connais-tu l’aspect de tes lèvres internes, externes ? As-tu déjà regardé le gland de ton clitoris ? Contrairement aux propriétaires de pénis, les propriétaires de vulve n’ont pas de visuel direct, au quotidien. Se connaître, en savoir plus sur soi, porter un regard positif sur son corps, plus sain, plus bienveillant, savoir ce qui nous fait réellement plaisir, est un premier pas vers une sexualité épanouie.
Si tu es propriétaire d’un pénis, bien que ce soit « plus facile » pour toi de connaître ton corps, n’oublie pas qu’il existe toutes sortes de tailles, de formes et de couleurs de pénis. Il faut oublier les images et les représentations qu’on a tous et toutes de ce à quoi doit ressembler un corps parfait car tout le monde est unique. Terminées les injonctions à avoir une vulve et un pénis parfait !
Si tu as envie de partir à sa découverte, nous te conseillons de prendre un miroir et de regarder les plis, coins et recoins de ton sexe. D’ailleurs, dans la box découverte de TuMePlay, un petit miroir est fourni !
Tu peux aussi aller jeter un œil (ou deux) au livret Sex Education et sur le compte Instagram @the.vulva.gallery où il y a tout un panel de différentes représentations de vulves et de pénis tou.te.s plus beaux.belles les un.e.s que les autres.
La masturbation
Un coup de stress ? Des maux de tête ? Nous avons un remède naturel qui peut te soulager : la masturbation ! Que ce soit pour les propriétaires de pénis ou pour les propriétaires de vulve, la masturbation a de nombreux bénéfices. Grâce à la libération d’hormones apaisantes, elle permet de réduire le stress, la tension et les douleurs, en plus de procurer une sensation de bien-être.
Alors pourquoi ne pas allier l’utile à l’agréable ? On te rassure, personne ne deviendra sourd·e !
En revanche, si la masturbation, ça ne te dit rien ou si tu es en recherche de la technique qui te correspond, c’est ok aussi, seul·e toi connais ton corps, ses envies et besoins mieux que personne !
La pornographie
En parlant de masturbation… Avec ou sans support, chacun·e sa façon de faire. Sache que si tu optes pour le porno, aucune honte à avoir. Nous sommes des millions à visionner/lire/écouter des contenus érotiques pour accompagner nos moments de plaisir, solitaires ou à plusieurs. Le porno classique, avec ses corps parfaits, ses actes qui durent des heures et ses acteur·trice·s toujours prêt·e·s et épilé·e·s, peut parfois gêner certaines personnes. Nous te proposons donc, si tu as besoin de renouveau, le porno féministe d’Erika Lust ou les magnifiques podcast de Voxxx et Coxxx à écouter sans modération. C’est un outil génial pour booster la créativité, l’imagination, l’envie et développer ses fantasmes.
L’éjaculation
L’éjaculation est l’expulsion d’un liquide biologique, souvent associée au plaisir. Pourtant, elle résulte seulement d’un mécanisme biologique. L’éjaculation peut ne pas être centrale dans un rapport : il y a mille et une façons de donner et recevoir du plaisir ! Ce n’est pas parce qu’il y a orgasme qu’il y a éjaculation et vice-versa.
Pour les propriétaires de vulve, l’éjaculat est constitué d’un fluide sécrété par les glandes para-urétrales (dites glandes de Skene) situées en-dessous de l’urètre.
A ne pas confondre avec le Squirting. En effet, squirting et éjaculation sont deux choses différentes ! Le squirting est également un phénomène mécanique : c’est-à-dire que toutes les personnes à vagin sont en capacité de produire un squirt, mais ce fluide provient directement de la vessie, lui. Si tu veux être incollable sur le squirting, nous te conseillons une vidéo du génialissime compte Instagram @Orgasme_et_moi qui en parle. Tu peux y trouver toutes sortes d’infos pratiques !
Pour les propriétaires de pénis, l’éjaculat est constitué de sperme et de liquide séminal provenant en partie de la prostate. Pour les propriétaires de pénis, la précocité est souvent un sujet qui revient sur la table. Quelques chiffres : 20 à 30% des propriétaires de pénis sont concernés par une éjaculation dite précoce, ce qui correspond à un temps inférieur à 1 minute 30 (lors d’une pénétration). L’injonction à la performance est l’une des raisons qui peut influencer l’éjaculation. Tout comme le stress, la pression, la fatigue, l’alcool et autres produits. Alors avec toutes ces raisons, c’est normal que ça puisse arriver et ça peut arriver à n’importe qui, parfois à certaines périodes de la vie et puis plus jamais.
Oublie les normes à ce sujet, le plus important c’est évidemment de kiffer ses relations. D’ailleurs, un rapport ne se termine pas forcément par l’éjaculation, tout comme l’éjaculation n’est pas une étape obligatoire pendant un rapport. Il y a plein d’autres choses à faire avant, pendant et après !
Parfois, il existe des dysfonctions de l’éjaculation. Alors, si (et seulement si), ton éjaculation te préoccupe ou affecte ta vie sexuelle, tu peux aller consulter des professionnel·le·s de santé à ce sujet.
Si le sujet t’intéresse, nous te proposons (si tu ne l’a pas déjà fait) de checker sur les lignes de tram virtuelles de notre map de Bordeaux la campagne « mâle informé » réalisée par une ancienne équipe d’ERS.
Les objectifs du thème « culte de la performance sexuelle » sont nombreux : aider les garçons à avoir une sexualité plus épanouie, à se détacher des codes de la sexualité véhiculée par la pornographie, qui sont parfois source de mal-être mais aussi à questionner la « normalité » dans la sexualité et leur recherche de l’exploit.
Cette volonté d’exploit est souvent traduite par un manque de confiance en eux quant à la durée du rapport, la taille de leur verge et la capacité à procurer du plaisir à leur partenaire.
Ces angoisses sont pourtant les premières responsables de troubles sexuels et peuvent provoquer un cercle vicieux. L’enjeu de ce thème est donc de promouvoir une vision positive de la santé sexuelle et de recentrer sur des expériences qui apportent du plaisir en toute sécurité et sans contrainte, discrimination ou violence.
Stand
« Rupture »
Besoin de vivre pleinement un chagrin ou de reprendre du poil de la bête après une rupture ? Nous t’avons préparé deux playlists qui pourraient t’être utiles !
On va y jeter un œil ?
On ne peut pas te donner un seul conseil car personne ne vit sa rupture de la même façon : pour certain·e·s c’est la perte d’un être qui compte beaucoup, pour d’autres c’est un poids en moins. Dans tous les cas, il faut essayer de confronter tes émotions tout de suite pour mieux les affronter car si tu restes dans le déni, elles finiront un jour ou l’autre par réapparaître et ce sera encore plus compliqué d’y faire face. Si à l’inverse, tu ne ressens rien aux premiers abords, c’est possible aussi et c’est tout à fait légitime !
On est tou·te·s passé·e·s par là un jour, la vie est faite de rencontres et de séparations, c’est la dynamique du cycle de la vie. Pour beaucoup d’entre nous, la musique est présente dans les bons comme les mauvais moments. Donc pour t’accompagner durant cette période, quel que soit ton mood, nous t’avons concocté deux playlists ! Comme leurs noms l’indiquent elles t’aideront, nous l’espérons, à mieux vivre ce moment !
Bad mood:
La remontada:
Stand
« Tu.me.play »
Dans ce stand on te propose de découvrir TuMePlay qui, pour cette édition du Sex On The Campus, a préparé une surprise pour toi !
TuMePlay est une application destinée aux jeunes de moins de 25 ans, qui a pour vocation d’éduquer à la sexualité secure et au consentement.
Par un système de quiz ludiques et interactifs, l’utilisateur.ice débloque des points, ce qui lui permet de gagner des lots : des box contenant des outils de prévention (gel, préservatifs…) et des livrets informatifs et ludiques !
Chaque box est adaptée à l’état de connaissance et de découverte de la sexualité de la personne.
Si tu veux découvrir TuMePlay et faire plein de quiz c’est par ici : Tumeplay (social.gouv.fr)
Et on me dit dans l’oreillette que tu peux gagner une des box proposées ! Pour ça, c’est simple : il suffit de trouver le mot mystère et de l’entrer ci-dessous.
Petit indice : il est composé de 5 lettres réparties sur la map. Alors ouvre bien les yeux !
Stand
« Concours préservatif »
Imagine débarquer chez ton·ta crush avec une capote designée par toi en personne, ça paraît dingue non ?
Et bien nous, on te propose de le faire ! Présente nous ton idée de design ; si c’est le tien qui est choisi, il sera imprimé rien que pour toi en édition très très limitée.
C’est par ici que ça se passe :
Propose-nous ton meilleur design en MP sur insta ou si tu as l’idée mais que tu ne te sens pas artiste dans l’âme, décris nous ta meilleure phrase d’accroche juste en dessous !
Si tu cherches comment te procurer des préservatifs internes ou externes, gratuitement sur Bordeaux, tu peux te rendre au Planning familial, au CeGIDD, au CACIS, au local du GIROFARD, à l’ESE, etc. Tu peux également te tourner vers l’application TUP qui recense tous les lieux qui en vendent!
Stand
« Drague, sexe et amour numérique »
Besoin d’infos et/ou de conseils concernant la drague, le sexe et l’amour derrière un écran ? Tu as cliqué sur le bon stand. Bonne lecture !
La sécurité de ton identité avant tout.
Que ce soit sur tes réseaux sociaux ou sur une appli de rencontre, pose toi la question : « Quelles informations cette personne peut-elle obtenir de moi ici ? » Photos, lieux fréquentés, contacts d’amis,… Tu as le contrôle sur tout ce que tu montres ! Alors pense à protéger particulièrement ton adresse, tes proches et toutes tes données personnelles. Et d’ailleurs ne confie pas non plus ces infos en privé (personne n’a besoin de ton RIB pour te draguer…).
Qui est vraiment derrière l’écran ?
Aucune raison de devenir paranoïaque mais c’est encore une question de sécurité. Pour t’assurer que « Jessica, 24 ans » n’est pas finalement « Jean-Michel, 52 ans » (oui, on sait, c’est très cliché mais ça peut arriver), il y a des petits tips :
- Certaines applications de rencontres proposent des profils vérifiés. C’est un bon moyen de faire le tri.
- Généralement, évite les profils vides sur les réseaux sociaux. Pas de photos, pas d’ami·e·s, aucun historique… C’est suspect !
- Tu peux aussi demander des preuves. Une photo dans un endroit et avec un angle particulier, un vocal avec un mot-clé, rien de mieux pour t’assurer que ton interlocuteur·ice n’usurpe pas une identité !
Petits conseils pour tes sextos, photos et nudes
Le plus important c’est le consentement. Et dans les deux sens. Ne te sens jamais obligé·e de rien et assure toi que la personne d’en face a envie de recevoir ce que tu vas envoyer !
On ne va pas se mentir, il y a quelque chose de très excitant à faire/recevoir/envoyer une photo suggestive. Malheureusement, cette pratique reste « risquée » du fait de personnes mal-intentionnées. Si tu fais partie de ces personnes, repose ton téléphone : c’est un délit puni de 2 ans de prison et 60 000€ d’amende.
Si des photos de toi ont été diffusées, on est bien d’accord que ce n’est pas de ta faute. Personne n’a le droit de les diffuser sans ton accord. Pour faire valoir tes droits, tu peux te rapprocher de www.stop-cybersexisme.com.
Si tu souhaites sécuriser ta pratique, voici quelques tips :
Pour commencer, évite de montrer ton visage ou un signe distinctif ou même un décor identifiable. Et ensuite, attention à l’endroit où tu envoies tes photos ! Les messageries instantanées ne sont pas toujours sécurisées, on te conseille par exemple les applis Signal ou Telegram qui sont chiffrées, qui te permettent de contrôler le temps d’apparition de tes photos et qui t’informent des captures d’écrans. Enfin, conseil de pro : attention à la synchronisation automatique de tes photos dans la galerie ! Ce serait dommage de montrer les nudes de ton ou ta crush à mamie entre deux photos de Noël…
Dates virtuels
Sur certaines applications de rencontre, il est possible de se rencontrer en visio dans un premier temps : ça permet d’avoir un aperçu en toute sécurité avant de se rencontrer en vrai !
Des petites idées d’activités à faire ensemble à distance :
- regarder un film en même temps (avec Netflix party par exemple)
- jouer à un jeu en commun : l’avantage, c’est que pour les grands timides ça peut juste être en audio pour commencer ! Quelques exemples de jeux sympas : Minecraft, Among us, Scribbl (équivalent d’un pictionnary numérique), Limite Limite…
Sur une appli de rencontre, tips avant de passer IRL !
D’abord, veille à TA sécurité :
- Ne donne jamais tes informations personnelles (adresse, numéro de sécurité sociale, informations financières)
- Ne donne ton numéro de téléphone que si tu es à l’aise
- Tu peux tenir tes proches informé·es : de ton programme, de l’endroit où tu vas, de l’heure à laquelle tu es supposé·e être revenu·e du rendez-vous…
- Préfère les lieux publics pour un premier date.
- Essaye de venir et repartir du rendez-vous par tes propres moyens. Le mieux c’est de ne pas être pas dépendant·e de quelqu’un que tu ne connais pas pour rentrer chez toi.
Ensuite quelques tips pour rassurer la personne que tu vas rencontrer et organiser un date en toute détente :
- Vous pouvez discuter en avance de comment vous allez vous saluer : la bise, un check, rien du tout, ça vous évitera sans doute un moment gênant en arrivant face à face.
- Amorce avec un peu d’humour la situation pour relativiser, ça fonctionne souvent. C’est une manière de dédramatiser le date.
- Reste à l’écoute de l’autre, de ses hésitations et aussi simplement observe ses réactions.Si vraiment tu sens que la personne n’arrive pas à être à l’aise en face à toi, ça peut être mieux, pour vous deux, de tout simplement prendre l’initiative de la laisser tranquille.
- Ne brusque pas la personne en face : oublie les exigences, tu dates une personne que tu acceptes comme elle est.
- Enfin et surtout, reste à l’écoute de ton instinct, si tu te sens mal à l’aise, écoute-toi et pars.
Stand
« Les relations »
Tout au long de notre vie, nous créons des liens avec d’autres personnes.
Dans la sphère affective et sexuelle, ces relations peuvent prendre beaucoup de formes différentes.
Tu trouveras quelques exemples et un podcast sur le sujet dans ce stand !
Tant que la relation se fait dans le respect, il n’y a pas vraiment de règles et surtout, il y a une multitude de possibilités.
D’abord il y a les personnes vers qui tu te sens attiré·e. Cette attirance détermine ton orientation sexuelle et/ou romantique : hétérosexualité, homosexualité, bisexualité, pansexualité, asexualité, aromantisme…
Tu peux ressentir deux types d’attirance : l’attirance romantique et l’attirance sexuelle. Elles ne sont pas forcément égales. Si tu ne ressens aucune attirance romantique pour personne, on parlera d’aromantisme, à l’inverse si tu ne ressens aucune attirance sexuelle on parlera d’asexualité.
Ton orientation et ton attirance ne sont pas forcément figées dans le temps !
Selon tes envies et celles de tes partenaires, tu peux te lancer dans plusieurs types de relations. Il existe une multitude de façons de vivre sa vie sexuelle et affective et le couple n’est pas une fin en soi. D’ailleurs, on peut avoir des sentiments très forts sans appeler ça de l’amour. Pas besoin de se mettre la pression si on n’a pas envie de mettre ce mot sur ce que l’on ressent, tout le monde a une façon d’aimer très différente.
Si la relation est composée de plusieurs personnes et de sentiments entre vous, c’est ce qu’on appelle du polyamour (à trois, ça forme le fameux trouple !). Toutes les personnes concernées en ont fait le choix éclairé.
S’il y a plutôt une relation privilégiée à deux, mais la possibilité d’entretenir des relations sexuelles en dehors du couple, c’est une relation libre.
Tu peux aussi avoir un plan cul, si tu ne veux pas d’engagement amoureux, ou simplement un coup d’un soir ! Et si tu aimes garder une certaine complicité avec ton·ta·tes partenaire·s sexuel·le·s, alors tu préfères sans doute avoir un·e·des sexfriend·s…
Bien sûr, ce sont des exemples, et tu n’es pas obligé·e de t’étiqueter dans l’un d’eux. Tout ça pour dire que chacun·e fait ce qu’iel veut tant qu’iel se sent heureux·se et épanoui·e dans le respect et le consentement de chacun·e !
Pour te présenter un peu le thème de cette slide on te propose un petit rébus :
C’est quoi la ….
en 2021 ?
Alors ça y est, après des dates très réussis, et quelques textos… vous voulez peut-être vous engager dans une relation.
Personne n’a envie qu’on abuse de sa confiance et si tu n’as envie de faire souffrir personne, c’est important de se mettre d’accord sur votre définition de la fidélité dès le départ.
Oui mais, c’est quoi la fidélité ? Tout le monde ne place pas sa limite au même endroit.
Pour certain·e·s, des textos vont être considérés comme une infidélité, ou peut-être un bisou, ou un acte d’ordre sexuel. Pour d’autres, la trahison se situera dans les non-dits, le développement de sentiments dans une relation strictement sexuelle…
C’est pourquoi il est important d’en discuter entre vous, d’être au clair avec vos envies et vos limites respectives.
C’est l’établissement d’un accord entre vous. En le respectant vous serez fidèles envers l’autre. Cela ne veut pas forcément dire exclusif ! Cela reste à déterminer dans ce “contrat”.
Parfois, on détermine ce contrat au début de la relation, mais au bout de quelques années, on peut avoir envie de le changer, d’entrer par exemple dans une relation libre. Alors une discussion s’impose pour se mettre d’accord. Ainsi, le couple reste fidèle, sans pour autant être forcément exclusif !
Nous avons voulu laisser la parole aux étudiant·e·s de Bordeaux qui vivent ou qui ont vécu des relations sexuelles ou affectives qui peuvent sortir du schéma dit “classique”. On te laisse découvrir 4 histoires différentes dans le lien juste en dessous !
“Disclaimer” : dans ce podcast nous abordons des sujets qui peuvent te mettre mal à l’aise. Nous souhaitons que cette édition du Sex On The Campus soit un lieu de partage et de bienveillance. Si tu penses que ce stand n’est pas fait pour toi, aucun souci ! Nous avons encore plein d’autres stands que tu peux découvrir 🙂
Si ce podcast t’as plu ou que tu souhaites nous partager tes remarques, n’hésite pas à nous envoyer des DM sur la page Instagram de l’Espace Santé Étudiants.
Hello à toi !
Tu viens d’atterrir sur la map interactive du Festival Sex On The Campus 2021 🙂
Cette année on va parler de relations, sous plein d’angles différents. On te propose donc d’aller explorer les différents stands virtuels installés dans notre carte de Bordeaux. Tout le festival est fondé sur la bienveillance et l’ouverture d’esprit : ici on est good vibes only.
Si tu veux suivre d’autres projets sur les sexualités mais aussi sur le bien-être ou les soirées, rejoins-nous sur insta : @espace_sante_etudiants_bdx
— L’équipe d'Étudiantes Relais Santé Sexualité
Un site réalisé par l'Espace Santé Étudiants de Bordeaux